Week-end Ski - Mars 2006

Les bienfaits d'un stage en altitude sur nos résultats n'étant plus à prouver, la grande famille élargie de Générac 1 s'est donc retrouvée lors du week-end des 17, 18 et 19 mars 2006 sur les pentes enneigées du Collet d'Allevard.
Voyage sans encombres, radars évités, résidence sympatoche au pied des pistes, menus finement élaborés (merci à Coco et Jean-Jacques pour cette logistique presque sans faille !) avec une météo finalement plus favorable que les prévisions.
Puissent ces quelques images prolonger éternellement la convivialité qui nous anime. Amen !


Une partie du convoi ...

Le Pontiac Grand-Luxe et son annexe à roulettes, baptisé "navette spaciale" par les passagers en culotte courte. Merci à Henri-Pierre d'avoir mis autant d'espace confortable à notre disposition. Merci au co-pilote pour la qualité de son plan de vol, ce qui n'était pas le cas dans tous les équipages. Un exemple à suivre pour Denise et Laule ... et j'me comprends


6ème pause-pipi
pour Arthur et Bruno
Une vue des
rangées 1 à 27
Console de pilotage Ouvrage d'art

Laurence qui dévore
le Sudoku

Le réveillon du vendredi soir

Bien que le crissement des chips se fit entendre durant tout le voyage, chacun criait famine lorsque le rôti fut venu .... lui !

Garde-manger Saucisson Rosé
Deniiiiiiiise Cap'tain HP Miam
Les retardataires
(parfaitement Laule !)
Cocktail du soir Qui a jeté son trognon
dans la nature morte ?

La remise en jambes du samedi

Malgré une arrivée plutôt tardive la veille, la joyeuse bande semble d'attaque dès l'ouverture des pistes pour une découverte progressive de la station.
Un esprit de glisse tranquille souffle sur le groupe qui dessine de grandes arabesques dans les larges combes. A l'exception de Max dont la jeunesse rebelle trouve son bonheur en dehors des pistes balisées pour multiplier les 180, back-flips et autres contorsions stylées mais souvent rappelé à l'ordre par les lois infaillibles de la gravité. Ce qui lui coûtera au final une paire de skis récemment trocathlonnée !

Chaussage (pour ceux
qui ont encore
leurs pompes ...)
Casier avec groom Ouverture du bal
des galtouses
(sur un relief on ne
peut plus plat)
Transport sanitaire Prise d'élan Dérapage ...
... et hop, on benne Sur les cîmes Quel opportuniste ce Steph !

Saturday Night Fever

Sur les pistes ou dans l'appart, une seule devise nous guide : qu'au sein de la troupe, chacun puisse trouver les pleins moyens de s'épanouir totalement.
Et en cette belle soirée du samedi, il y avait là, pêle-mêle sous mes yeux éblouis d'émotion culinaire, des dizaines de petites mains agiles qui s'activaient pour le bien-être de nos papilles, sous la tendre férule de notre Steph-cuistot.

Tiens ... le trognon ! M'enfin Laule ? Les fourneaux Ultrabright au goût
pas vraiment sauvage
Ysa à la coupe Planche à 4 mains Confection des tapas Vé Jean-Paul, tu me fends
le coeur
Notre Bob Marley blanc Vue désobligeante
sur ceux qui ne
font rien
Mélanie .. arrête ! Inquiet HP ?

Essorage artisanal


Quand altitude rime avec quiétude ... mais pas longtemps

Je ne sais pas vous mais pour ma part, j'ai conservé un souvenir exceptionnel de cette sérénité dominicale. Il faut rapidement savourer l'instant car hélas il ne dure pas. Mais ces quelques minutes valent autant que le reste de la journée.
Imaginez, une vice-présidente dans le cirage ... comme une belle parenthèse au brouhaha habituel. Certes, il y a encore la fille et la petite-fille qui la ramènent mais quand même !!!
Malheureusement, son naturel reviendra au galop avec l'arrivée des pages jaunes pour je ne sais quelle raison ... sans doute l'épuisement du stock de café ... et à l'heure du petit-déjeuner, c'est pas vraiment cool.

Déjà la patate ! enfin ... presque Les pages jaunes

Le ski du dimanche matin ...

Ca démarre pépère, à la manivelle, ménageant les muscles qui sommeillent, profitant même d'une terrasse ensoleillée pour flâner davantage. Pistes désertes, neige souple ... que du bonheur en poudre.
Puis souhaitant éliminer toute la bonne pitance de la veille, Dame Ysa emmène les plus téméraires vers des reliefs moins hospitaliers.

Pause de 10h00 Le web bien entouré Une station juste pour nous Et c'est parti !
Père & fils La grande classe Cindy et Antoine Tonio dans la mouise

La mère Lauzence Une débutante
avec 4 moniteurs
Super Denise !



Là, ça va envoyer grave !
Un peu constipée
la Mélanouille
Pas tranquille
le père Pouaille
Hésitante
la mère Patouille
Super sereine
l'ex-coach
Pente de 35° 45° 55° Pantalon assorti
à sa nouvelle C3


Soyez attentifs !
En recopiant ce cliché, le photographe s'est manifestement trompé.
Saurez-vous identifier les 7 différences ?



Allez, tous au graillou !


Déjeuner du dimanche

Ultime étape gastronomique du week-end. Une espèce de remake moderne de la Cène avec Coco et tous ses disciples.
A la différence près par rapport au scénario original qu'elle a toujours refusé de laver les pieds de ses apôtres, qui pourtant lui vouent une adoration sans borne. Et arrêtez de rire au fond !

Corvée de cartes postales Consultation du CAC 40 Apéro-debrieffing canon-YSA-tion
Les z'amoureux Qui veut du dessert ? Mélanie tais-toi ! Ce qui s'appelle
patouiller
Le repas de Bruno Le cerveau de Bruno Attention ... ... il travaille
Autre corvée Vue de l'appart Glandeurs chroniques Vé, les marseillais

Partenaire officiel du Volley-Club de Générac

Le ski du dimanche après-midi

Les sourires sont de circonstance mais les esprits les plus chagrins pensent déjà au turbin du lundi matin.
La saison hivernale s'achève sur une belle note mais s'achève quand même. Il faudra bientôt ranger les planches, de préférence verticalement et sans les laisser l'une contre l'autre, ce qui pourrait altérer leur élasticité. Bien sûr, les carres (sauf pour Max qui n'en a plus !) étant très sensibles à la rouille, on veillera à entreposer son matos dans un endroit sec et aéré. Sans oublier de graisser les fixations.
Et pour Dame Ysa, on n'oubliera pas de glisser deux ou trois pastilles d'anti-mites dans ses moufles multicolores tricotées main.

Photo de famille ... devant notre résidence Dernière remontée Ultime retour

Dernier regard amer d'un free-styler qui a ridé comme un ouf dans la peuf

Le retour

Fidèle réplique du voyage-aller, jonché de multiples pauses pour les deux incontinents de service.
STOP - Bilan positif - STOP - Opération à renouveler - STOP.

Tout en vrac La place de la victime Les machos du fond
Le gars qui roule en veilleuses dans la nuit noire

Place au vote du public

Ce petit diaporama ne serait pas complet sans évoquer les disfonctionnements majeurs qui sont venus ternir l'organisation pourtant millimétrée et qui, dans quelques années, au grand regret de leurs auteurs, seront les seuls souvenirs de cette aventure montagnarde.

D'abord, notre repas du samedi soir, la fameuse daube, préparée dans la semaine, mijotée avec amour et qui fut oubliée dans un congélateur généracois. Je laisserai sous silence l'arôme surprenant de la Carthagène à l'orange ...

Ensuite, l'histoire abracadabrante d'un type shooté au Rhinadvil, enfilant par mégarde les chaussures de ski d'un autre et privant leur propriétaire de glisse toute une demi-journée durant.

Pour décerner le boulet d'OR d'Allevard :

Que de la daube ! C'est pas le pied !